Il est des nuits qui marquent une vie. Celle que j’ai passée à la Philharmonie de Paris un soir de juillet 2016 avec Max Richter est de celle-là. Le compositeur germano-britannique y jouait « Memoryhouse » avec l’orchestre national d’Ile-de-France. Interprétation live magnifique d’un opus magistral, gravée à jamais dans ma mémoire. Sans nul doute l’un des concerts les plus sublimes auxquels il m’ait été donné d’assister. Pour la douceur de ce début d’été, j’ai choisi d’en partager deux extraits avec vous. J’espère que vous les aimerez autant que je les aime.
C’est en 2002 qu’est né « Memoryhouse », premier album de Max Richter. A la croisée de la musique classique et de l’ambient, intégrant avec autant d’audace que d’habileté des voix et des textes poétiques, « Memoryhouse » n’est rien de moins qu’un chef d’oeuvre absolu. Inspiré et inspirant pour de nombreux autres musiciens dans sa lignée.
A la fois éthéré et profond. Grave et méditatif. Sensible et sensuel.
Bouleversant de beauté.
A écouter, November :
& Sarajevo :
Eglantine / Totoromoon