
En 2017, à Lyon, Célia Broch et Thibaud Furst posent les premières pierres d’une formation passionnée de voix vaporeuses et de murs de sons. Quelques mois plus tard, Ludovic Jaguin les rejoint. Quelques mois plus tard, encore, tous trois rencontrent Julien Angueloff. La scène prend place à un concert de Motorama. Ainsi, sur fond de cold wave russe, naît Lunation Fall. Il y a quelques semaine, le quatuor lyonnais donnait naissance à son premier album, « Near ». Un album aux confluents du shoegaze et de la dream pop, mettant à l’honneur l’amour et le temps qui fuit, dans de délicieux nuages sonores.
De distorsions saturées en délicatesses sensibles et éthérées, les six pièces de « Near » et leurs savoureux contrastes fleurent bon une exquise sensualité. Sur chacune planent des voix délicatement réverbérées. Elles sont féminines ou masculines, toujours caressantes, envoûtantes et profondes. Les rythmiques sont efficaces et chaloupées, les mélodies aussi douces qu’accrocheuses. L’ensemble se répond dans une indéfectible harmonie. Un premier album prometteur et réussi.
« Near » est disponible depuis le 16 avril aux formats numérique, vinyle et cassette via Stellar Frequencies. La belle pochette du disque est signée du photographe Rémy Badout.
Tracklist :
- Sweet Misery
- Aube
- Precious Time
- Mercury
- Reflections
- Mydriasis
Bandcamp : https://lunationfall.bandcamp.com/
Facebook : https://www.facebook.com/lunationfall
Eglantine / Totoromoon